mercredi, 23 juin 2010 00:00

L’insuffisance rénale chronique

  • IRC Terminale (handicap, coût)
  • Néphropathies vasculaires et diabétiques: 60% des cas à la Réunion
  • Prévalence à la Réunion / Métropole du diabète X 3, HTA X 2
  • Nécessité d’un dépistage précoce (20 à 35% des dialysés sont adressés aux néphrologues de 1 à 6 mois)
L’insuffisance rénale chronique– IRC Terminale (handicap, coût)– Néphropathies vasculaires et diabétiques: 60% des cas à la Réunion– Prévalence à la Réunion / Métropole du diabète X 3, HTA X 2– Nécessité d’un dépistage précoce (20 à 35% des dialysés sont adressés aux néphrologues de 1 à 6 mois)Amélioration de la prise en charge de l'insuffisance rénale chronique chez le patientb à risque : (patient diabétique de type 2 et /ou hypertendu)

Retrouvez toute la présentation : ici (pps) ou ici (pdf)

mercredi, 23 juin 2010 00:00

Étude à l’île de la Réunion auprès de 133 généralistes

Objectifs:

Améliorer le dépistage et la prise en charge précoce de l’insuffisance rénale chronique (IRC) chez les patients à risque (HTA et [ou] diabète de type 2) à l’île de la Réunion.

Méthode:

Étude avant/après intervention associant des visites de pairs et un audit de pratique. Dix médecins généralistes ont rencontré sur leur lieu d’exercice et sensibilisé aux recommandations ANAES 133 généralistes volontaires qui ont réalisé un audit. Par ailleurs, 12 néphrologues ont recueilli des données concernant les nouveaux patients adressés pour IRC par les généralistes visités (groupe intervention) ou par les généralistes non visités (groupe témoin).

Résultats:

Après intervention, le nombre de nouveaux patients adressés aux néphrologues a augmenté, surtout de la part des généralistes «visités». Le chiffre moyen de la clairance de la créatinine pour les patients adressés par ces médecins a diminué significativement (p < 0,02) passant de 51 à 41 mL/min après l’intervention.

Conclusion:

Ce constat pourrait traduire le fait que les généralistes, incités à dépister de nombreux nouveaux patients, ont adressé aux néphrologues en priorité ceux qui étaient en situation critique. Sur le plan qualitatif, les généralistes visités qui ont été interviewés en fin d’étude ont estimé que cette action collaborative a été utile pour faire évoluer leurs pratiques, et les néphrologues ont indiqué qu’elle améliore la prise en charge des patients ayant une IRC.

[...]

L'intégralité de l'étude ici

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